En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez que celui-ci dépose des fichiers témoins («cookies») sur votre appareil. Vous pouvez à tout moment paramétrer votre navigateur pour qu’il bloque les fichiers témoins. Pour plus d’informations, veuillez consulter la politique de confidentialité web du Cégep.

J'ai compris

Aller au contenu principal

Le parcours de la réalisatrice Mélanie Charbonneau

Mélanie Charbonneau, diplômée en Art et technologie des médias (ATM) profil Télévision en 2004, a de quoi inspirer tous ceux qui rêvent de faire de la télé ou du cinéma. En plus d'avoir réalisé des dizaines de publicités nationales et internationales, des séries documentaires et de voyages, des courts-métrages et un premier long métrage, Fabuleuses, elle se démarque partout où elle passe.

La décision de choisir ATM comme programme au cégep continue encore aujourd'hui d'influencer positivement la vie professionnelle de Mélanie Charbonneau : « En ATM, puisque la formation est très pratique, ça nous permet de nous mettre dans un état d'esprit qui ressemble à celui du marché du travail. À Jonquière, j'ai pu toucher à plusieurs projets et à plusieurs spécialités, ce qui permet de bien comprendre l'ensemble des postes de l'industrie de la télévision. Je montais mes propres projets, je pouvais passer beaucoup de temps en salle de montage et je pouvais appliquer rapidement les notions apprises. Aujourd'hui, cela contribue à faire de moi une meilleure guide en tant que réalisatrice, parce que je comprends bien la réalité d'un monteur, d'un éclairagiste, d'un caméraman, d'un monteur. »

Avec une carrière déjà bien entamée, Mélanie Charbonneau a su faire sa place dans l'industrie. Ses courts métrages, Seule et Lunar Orbit Rendez-vous, ont été présentés dans plusieurs festivals internationaux. Plus récemment, c'est son premier long métrage, Fabuleuses, diffusé sur les grands écrans du Québec, qui s'est démarqué. La réalisatrice a notamment pu le présenter au Festival du film de Busan en Corée du Sud.

Énergie, débrouillardise et polyvalence

Côtoyant régulièrement des diplômés d'ATM sur les plateaux de tournage et dans diverses maisons de production, elle admet qu'elle reconnaît facilement les gens qui ont suivi la même formation qu'elle : « Même s'ils sont plus jeunes ou plus vieux que moi, les gens qui sortent d'ATM sont des gens fonceurs et débrouillards. Ils possèdent une énergie distinctive. On se reconnaît entre nous. ATM apprend à s'adapter, à trouver des solutions par soi-même, à être autonome et à ne pas avoir peur d'essayer. On va de l'avant! »

Des enseignants passionnés

Pour elle, les apprentissages transmis par ses enseignants en ATM ont été des plus révélateurs : « J'ai connu des enseignants qui possédaient une fibre artistique très forte et ils transmettaient vraiment leur passion pour le cinéma. Ils nous faisaient réfléchir sur nos images et sur les œuvres cinématographiques. Ça m'a donné le goût d'aller plus loin. »

Un «trip de gang»

Originaire de l'Île d'Orléans, près de Québec, son coup de foudre pour le Saguenay-Lac-Saint-Jean a été indéniable. « J'ai vraiment embrassé ma vie à Jonquière, si bien que je n'allais pas souvent à Québec quand j'étais à Jonquière. Les liens se tissent rapidement puisque les étudiants arrivent de partout dans la province, explique-t-elle. Ça aide énormément! ATM, c'est un super trip de gang! »

Visite ton futur milieu d'études

Visite ton futur milieu d'études

Planifie ta visite

Fais ta demande d'admission

Fais ta demande d'admission

Inscris-toi